Phishing: deux problèmes, une solution unique et simple
Le phishing est un double problème pour les entreprises: leurs clients se voient présenter de fausses factures ou d’autres documents falsifiés à leur nom, ce qui nuit à leur réputation. De leur côté, les clients se méfient de plus en plus des documents officiels, et notamment des invitations à payer, ce qui se traduit en retour par des factures impayées. Comment résoudre ce problème?
Avec Doccle, les entreprises comme les particuliers peuvent contrer les e-fraudeurs
Nombre d’entreprises envoient leurs factures, contrats et autres documents à leurs clients par e-mail. La formule est simple pour elles et pratique pour les clients. Cela dit, elles omettent souvent un aspect crucial: la sécurité, et en particulier le phishing (ou “hameçonnage”).
3 millions de victimes en Belgique
Les clients des entreprises qui communiquent principalement par courrier électronique sont une cible privilégiée pour les phishers, ces fraudeurs qui redirigent les utilisateurs vers un faux site Web afin de dérober leurs mots de passe ou leurs numéros de carte de crédit. En outre, ces cybercriminels gagnent sans cesse en ingéniosité. L’époque des courriels d’hameçonnage rédigés dans un français médiocre et accompagnés d’excuses boiteuses est révolue.
Des études montrent qu’environ un quart des Flamands et un tiers des Wallons ont déjà été victimes d’hameçonnage. Soit quelque 3 millions de Belges. Pour convaincre leurs victimes, les fraudeurs utilisent fréquemment le nom d’une entreprise connue.
Le dilemme de la communication numérique
La prise de conscience s’accroît, cependant. Les consommateurs se méfient parce qu’ils ont déjà été victimes de phishing ou d’une autre forme d’escroquerie en ligne. Cette prudence est bien sûr souhaitable… mais elle s’accompagne d’une plus grande confusion. “Le client qui reçoit un e-mail ne sait pas toujours si vous en êtes bel et bien l’émetteur et si ce message est sécurisé”, souligne Bram Lerouge, CEO de Doccle. “Conséquence? Aucune mesure immédiate n’est prise et les courriels sont oubliés, les documents perdus, une communication cruciale est manquée et les factures restent dues. À moins que le client – s’il prend le temps de vérifier l’authenticité du document – envoie un e-mail à l’expéditeur ou lui passe un coup de fil. Auquel cas les entreprises consacrent une énergie et un temps précieux à le rassurer.”
Les clients méfiants suppriment les e-mails reçus. Conséquence? Des documents se perdent, des communications cruciales sont manquées et des factures restent impayées.
Une alternative sécurisée à l’e-mail
Les entreprises doivent donc chercher des solutions. Les clients peuvent être redirigés vers l’environnement de l’entreprise pour le paiement, mais cette option n’est pas forcément évidente. Mieux encore: l’entreprise peut recourir à une plateforme numérique comme Doccle en Belgique, qui permet aux utilisateurs de gérer tous leurs documents administratifs en un seul endroit. Les clients peuvent recevoir, payer et archiver des factures, signer et gérer des contrats, stocker des documents en toute sécurité et recevoir des courriers recommandés électroniques. Plus de 17.000 entreprises et administrations passent aujourd’hui par cette plateforme. “Nous prévoyons qu’en 2023, plus de 170 millions de documents seront partagés via Doccle”, chiffre Bram Lerouge. “Et le potentiel de croissance est encore très important.”
Sécurité et facilité d’utilisation
Doccle offre aux entreprises de numériser facilement leurs documents, et à leurs clients de jouir d’une tranquillité d’esprit, d’une vue d’ensemble complète et d’un vrai confort d’utilisation.
La plateforme n’a pas vocation à remplacer le courrier électronique, ceci dit. “Les entreprises peuvent toujours envoyer à leurs clients une invitation à payer par e-mail, mais Doccle propose une garantie supplémentaire car le client peut, s’il doute de l’authenticité de l’e-mail, aisément vérifier et payer dans l’application Doccle ou sur doccle.be. Il en va de même pour les contrats, les fiches de paie, les courriers recommandés et tous les documents de ce genre.”
“Il s’agit autrement dit d’une solution unique pour les envois recommandés qui n’est pas basée sur un e-mail avec lien; par ailleurs, il est également possible d’ouvrir les documents dans les applications bancaires via Zoomit”, conclut Bram Lerouge. “De cette manière, les entreprises et leurs clients mettent les phishers hors d’état de nuire: chaque entreprise travaillant avec Doccle est vérifiée, chaque document est crypté et chaque utilisateur doit s’authentifier pour accéder à l’application ou à doccle.be.”
